Amandine a décidé de retenter l’aventure Nouatre aprs son succès de 2016, Cette fois-ci elle est tombée sur plus forte 😉
Amandine :
Victorieuse de l’édition 2016, me revoilà présente sur la ligne de départ pour cette 34e édition. Repérage de la côte du Lavoir à l’échauffement (gros plateau,petit plateau? ah oui, petit plateau !). Une fois le matériel installé au parc, départ en bus pour la mise à l’eau en rivière.
Après 15min d’attente dans l’eau (certains diront que des féminines ont pris le dernier bus, d’autres que le starter avait oublié le pistolet au parc), me voila partie avec le groupe de favorites (M.GARABEDIAN, M.GAUTIER,L.PERIAULT). Rapidement distancée, je me retrouve à nager avec J.LECOLLETER. Problème : la rivière est très basse, peu de profondeur et nous voila en train de faire le dauphin à 5 reprises au beau milieu du parcours de 1900m !!! Sortie de l’eau en 9e position, j’espère refaire mon retard sur le groupe de tête. et non! devant , ça envoie du lourd ( la tête de course me reprend encore 2min). Je rattrape 3 athlètes au bout du 1er km vélo. Arrivée à la côte du Lavoir (3e km vélo), un petit bout de femme me double : Sandra Levenez. Je m’accroche, évite de me faire distancer tout en respectant les distances (drafting interdit). Je tiens les 40kms.
A T2, je me retrouve en 6e position. Au 3e km, une athlete me dépose : Cécile LEJEUNE. Encore une fois, il m’est impossible de suivre son rythme de course. Me voilà maintenant isolée, à 4 min de la 6e (info de mes proches au 5e kms) et à 4min d’avance sur la 8e. Que faire? je décide alors de poser ma course afin d’amorcer cette dernière semaine avant les chpts de Fr LD à Dijon ce dimanche 2 juillet plus en forme.
Bilan: quel stresse de participer à une course aussi relevée avec 6 élites du triathlon français mais quel plaisir de pouvoir se confronter à de telles pointures. Cette course me permet de faire un bilan et de connaitre l’axe de travail à aborder prochainement. Encore bcp de travail et d’efforts à accomplir pour franchir un nouveau palier ( et pas des moindres) et pourquoi pas toucher du doigt un tel niveau d’excellence.